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An other day.

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An other day.
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29 avril 2008

Inactivité ?.!

La motivation reste une marque cinglante de l’inversement d’une fainéantise aiguë mais dans quel cas peut-on savoir que l’on en fait trop ou pas assez ? Pour le moment ça me paraît plutôt clair … j’approche plus prêt du « down » que du « up », disons clairement que je ne trouve aucune envie à rien et que rien ne me donne envie …

  Explication foireuse d’un manque d’écriture flagrant ?

On va dire ça comme ça !

  Allez à trois on dégage …. BZZzzzzzzzzzzzzzzzzz

…tiiiit …… tiiiit ….. tiiiit …. Tiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii……………………

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16 avril 2008

Commodités d’arrangements.

  17 jours sans écrire … ça fait long quand on y pense, plus de deux semaines, en même temps écrire restant un exutoire je me permets une certaine flexibilité sur la fréquence de celle-ci. Mais là n’est pas le sujet …

  Disons que ce que je peux écrire ne semble pas joyeux, voir paraît triste, mais là encore la prévention avait été de mise, je n’écrirais pas ce que je pense pour que tout un chacun le lise d’une manière, mais que tous puisse interpréter ou y voir ce qu’ils en ont la nécessité, après tout, pourquoi toujours faire selon massivité populaciale ? (barbarisme certes ... mais totalement assumé.)

  Etre en accord parfait avec tout un chacun signifierait irrémédiablement être dans l’absolu certitude d’avoir totalement disjoncté tant le nombre de points de vus divergents est innombrable. L’on ne choisit pas par choix, c’est un pur mensonge permettant de se croire libre de sa vie ou destin, appelez ça comme vous le voulez, dans le fond ça reste la même chose, c’est une suite d’évènements d’où l’on peut plus ou moins avoir la main mise dessus.

  En soit, le choix n’est qu’une façade de force, là où la timidité se cache derrière tout ce qu’elle trouve, la force de caractère est la plus laissée pour compte car se ment à elle-même. Nos goûts, nos préférences, notre manière de penser ne s’assagit pas, pire elle s’encrasse dans ce que l’on veut bien s’absoudre à croire dur comme fer. La réalité mes petits c’est que l’on nous donne certaine carte pour jouer à un jeu où la complexité est telle, que vous n’aurez ni les règles, ni la capacité d’avoir toutes les cartes en main pour pouvoir y gagner. Ce que l’on nous donne le droit, c’est de faire avec ce que l’on a et ce que l’on nous laisse avoir, pas plus !

  Mais dans ce cas, à partir de quel moment peut-on dire qu’un choix préside sur le reste et qu’il en est réellement un ?

  Simple, à partir du moment où il est tout ce que vous auriez pu refuser de faire !

  Pour certains, on naît puis on devient quelqu’un à partir de là, nos chemins sont déjà tracés etc, pour d’autres, rien n’est acquis tout peut s’apprendre ou se décider … l’un comme l’autre ne verront jamais plus loin que le bout du nez du voisin, parce que nous sommes constamment limités par nous-même et l’autre – encore lui – notre libre arbitre n’est qu’un semblant d’exutoire pour nous faire penser que l’on agis par soi-même et pour soi-même, mais regardons un peu les évènements. Celui qui devra choisir entre la droite et la gauche, analysera irrémédiablement ce qu’il sait de l’un et l’autre pour faire ce qu’il considérera comme « meilleur choix possible ». Tandis que celui qui doit choisir d’avancer ou reculer, devra reprendre la même logique en ne changeant qu’une seule variable : ce qu’il sait et ne sait pas !

  Là où l’être humain est un acteur de sa vie, c’est lorsqu’il accepte d’aller vers cette obscurité qu’il ne connaît pas pour pouvoir, par la suite, reprendre son analyse avec plus de données … mais dans le fond le mécanisme reste le même. Je choisis tout en ayant connaissances des faits, des possibles conséquences … où est la part à l’instinct et au véritable choix qui se réduit simplement à dire : « JE choisis ça parce que je le veux … » et à la question du pourquoi, il ne saurait trouver de réponse car il n’y en a aucune de plausible … cqfd.

  Et à la fin il n’en résulte plus qu’une chose …

  L’appât du gain n’a-t-il pas pris le dessus sur la véritable liberté de décision ?

31 mars 2008

Imperfectionnisme à l'absurde ? (1)

  A quoi se doit-on de ressembler pour plaire à autrui ? Dans le langage courant et hypocritement correct, la réponse est relativement simple : à soi ! Mais quand on y regarde de plus prêt, soyons nous-même, allez juste un léger instant … imaginez que chacun libère les pulsions qui sont enfouis en lui, que chacun accepte de dire haut et fort ce qu’il pense, que chacun se laisse aller à frapper, prendre, ouvrir … bordel ? Je dirais plutôt anarchie post-apocalyptique !

  L’Homme se doit de se contenir, de retenir les pulsions qui font de lui un être semblable à tout animal ! Pour le dominer ? Non, pour SE dominer, parce qu’il se doit de faire le plus grand effort qu’il soit pour rester politiquement correct lorsque le politiquement correct nous absout à être soi-même … foutaise n’est-il pas ?

  En soit ce n’est pas ce que nous sommes qui peut effrayer le voisin, c’est ce que l’on pourrait être, ce moi caché qui n’est jamais révélé et recèle la véritable existence d’un moi encore plus profond, l’inconscient ou le sub-conscient, peut-être pas, car l’un est ce que l’on refoule certes, mais reste exprimé en rêve – sauf erreur de ma part tout le monde n’est pas névrosé, autrement je me fais psy de suite ! – toutefois, c’est ce que certains « esprit brillant » appelle le reste de cerveau mammifère régnant en silence dans le cortex humain, qui pourrait représenter cette façade plus vraie de notre nature … mais quand bien même nous laisserions libre à nos pulsions, nous restons des individus capables de penser et donc d’agir en conséquence pour ne pas se retrouver à baver au sol tout en marchant en canard …

  Non ?

  Le perfectionnisme de soi serait d’accepter cette part d’animalité qui règne en chacun de nous, le faire taire quand il en est besoin et le faire agir/parler sans que cela ne soit choquant pour le pauvre voisin tondant sa pelouse ou tentant, en vain, de faire sécher son linge par un mistral de force 5 –en même temps il faut être con pour pas avoir une machine à laver digne de ce nom …- enfin bref, je m’égare.

  Ce qui représente moi, je, moi-même, ma personne et toutes ces nominations diverses et variées – parfois trop utilisé les unes après les autres – ne pourra jamais être vraie tant que ce moi ne pourra pas englober la capacité totale de ce qu’il pourrait être. L’Homme reste un animal, mais il a évolué, appris à penser, appris à marcher, à interagir avec son prochain, à réfléchir ses gestes, ce principe de cause et conséquence si cher à ses yeux n’y est pas pour rien !

  Nous ne sommes rien de plus que des puzzles inachevés incapables de comprendre le plus petit fondement de ce que nous sommes, aveuglés par des instincts que l’on veut refoulé et inexprimé, nous nous cantonnons dans une sorte de "miellerie" acidulé nous permettant de croire que nous avons raison lorsque le fondement même de notre hiérarchie d’analyse n’est basée que sur des faits pouvant s’avérer être faux. L’Homme n’a rien découvert, il a nommé et inventé chaque chose car ses instincts l’en ont poussé, l’Homme a évolué car ses instincts l’y on poussés. Et maintenant que l’Homme a grandi, il fait taire ses instincts de peur de retourner en arrière ? A trois on saute tous ensemble du pont et c’est à celui qui tient le plus longtemps accroché à la chaîne ?

  L’acceptation par le déni de soi-même est-elle vraiment une solution ?

27 mars 2008

L’ennui meilleur ami de la disparition ?

 

  Ce n’est pas que je me fasse chier, loin de là, bien au contraire je dirais que le temps commence à me manquer – d’ailleurs qui n’a jamais couru après cette foutue notion qui n’a pas la moindre envie de s’arrêter un rien pour nous faire plaisir ? – c’est juste que je me demandais une chose. Ces gens qui nous entourent et que l’on accepte dans notre entourage, quelle est leur intervention dans notre vie ?

  C’est vrai, l’on se voit tous différemment, il nous est facile de haïr son prochain mais lorsque la complicité dépasse cette même haine et que l’on accepte d’être un tant soit peu vrai vis à vis de l’autre, le sera t’il toujours ?

  Je m’explique, on court après les autres, ce besoin oppressant d’avoir quelqu’un ou quelques-uns autour de soit, mais doivent-ils rester alors qu’ils sont sensés nous aider à changer ? S’ils nous ont acceptés tel que nous étions et que nous changeons, quelle est l’utilité qu’il reste auprès de nous ? Grandit-on à plusieurs ou bien est-ce l’attachement qui varie et change de niveau pour permettre à chacun de rester coller à l’autre ?

  Mais de manière paradoxale, c’est toujours lorsque l’autre part que l’on se rend compte de son utilité – ou de l’attachement, à vous de voir – l’on ne reconnaît la valeur d’autrui que lorsque celui-ci vient à disparaître de notre vie et que le sentiment d’attachement vient à être dépasser par celui de manque. Créer-t-on une dépendance proche de la drogue de ces liens ?

  Pourtant l’on naît seul et hormis certains cas extrêmes l’on meurt également seul – certes il y a toujours des personnes autour de soit, mais intérieurement il faut se l’avouer, on est seul.

  Dans notre vie, l’on cherchera toujours autant à s’entourer qu’à garder ce que l’on est pour soit, sommes-nous passés à une société masochiste avec un certain penchant pour l’auto flagellation ou est-ce une peur refoulée ? En soit, que risque-t-on de « l’autre » ? Si ce n’est lui offrir une part de notre vie et finir par être blessé, mais cette blessure reste superficielle, elle n’est qu’intérieure et ça, tout un chacun est apte à la refermé. Bien sur ce n’est jamais facile, bien sur chaque cas est unique, mais dans l’ensemble, oublier et passer outre est la meilleure médecine de ce genre de douleur, d’autant que l’on peut se l’auto administré. A moins qu’un éminent psychiatre ne vienne me sortir une théorie fumeuse sur le chaos intérieure de chacun fasse à l’aveuglement des faits et blablabla.

  Mais accepter de refuser, c’est accepter que ça c’est passer et que l’on est suffisamment grand pour passer outre. Alors pourquoi ne le fait-on jamais ? Peut-on retrouver la présence de l’autre dans la douleur et c’est pour cette raison que l’on s’y complaît ? Ainsi rien n’est jamais fini tant que l’on ne l’a pas décidé et ça nous permet de continuer à croire à un ersatz de vie. Ca reste dans notre tête tout ça …

  De ce fait … l’autre n’est-il pas des plus important quand il n’est pas là ?

23 mars 2008

L’expressionnisme passé de mode ?

  En soit, tout un chacun à le droit à la liberté d’expression, dire ce qu’il veut, penser ce qu’il veut, écrire ce qu’il veut. Ca c’est le principe de base. Si l’on étudie le détail on se rend très vite compte que la base finie par être dévorée par le reste : alentour, contexte, interprétation, manière de dire, syntaxe, mots, objet de communication, avec tout ça on en fini toujours par être une proie à toute sorte de visualisation de nos mots et de nos propos qui s’en trouve bien souvent être totalement dénaturé.

  Liberté d’expression ? Mon cul, depuis bien longtemps c’est le libre choix de chacun de pouvoir juger aveuglément son prochain sans même chercher à comprendre qui prédomine. Prenons le mot le plus banal au monde : « bonjour ». Essayer simplement de le dire à n’importe qui de différent chaque jour, sur un ton différent, de l’écrire différemment, de l’envoyer différemment, vous verrez que vous n’aurez jamais la même réaction, pourtant on ne fait que souhaiter la bonne journée à l’intéressé, alors que pour certains c’est à la limite de l’agression verbale. A mon sens il serait plus proche de cracher à la gueule de ce dernier plutôt que d’être poli parfois, sans parler des trop nombreuses fois où l’on fait face à un silence mortuaire comme si vous étiez totalement devenu barge …

  S’exprimer est devenu une chose désuète et compliqué dans une société ou tout un chacun cherche à s’enfermer pour mieux écraser la gueule de son prochain. On ne cherche plus à connaître celui à qui l’on s’adresse, on cherche à le juger, à le rabaisser, à lui en foutre plein la gueule (pour souvent pas un rond) et toujours avec cette espèce de relent de supériorité.

  Mais qui peut se dire supérieur à qui ?

  Tout un chacun sera meilleur qu’un autre et connaîtra une autre personne meilleur que lui dans quelque domaine que ce soit, c’est une sorte d’équilibre !

  Selon vos dires, selon l’état de la personne qui reçoit ses mots, ils ne seront jamais pris de la bonne manière, s’il en existe une bien sur. Tout ce qu’il peut ressortir d’une discussion maintenant, s’en est une autre sur la première, il faut bien expliquer tout ce que l’on vient de dire ! Mais pourquoi ne pas prendre tout ce qui est dit pour ce que c’est et rien de plus ? Une simple suite de mot formant des phrases et ayant pour but d’exprimer des sentiments, des idées, des pensées, des ressentis ou plus généralement, des choses propres à l’individu qui les emploi.

  Je sais pertinemment que la première chose qui titillera la personne qui lit ses mots, dans la mesure où elle me connaît – ou non – sera de venir m’en parler pour donner son avis, me dire que j’ai tort parce que ceci ou que j’ai raison parce que ceci, venir tenter d’étaler une science dont je n’ai nullement besoin. Parce que je possède la vérité absolue ? Je suis narcissique mais pas à ce point tout de même … non, c’est simplement parce que je possède MA vérité et MON analyse des faits et des choses. Parfois pertinente, parfois totalement à côté de la plaque, toujours est-il qu’elle n’est que mienne et que dans aucun cas je recherche à la faire entrer de force dans le crâne de quelqu’un – autrement je me servirais d’un bon marteau et d’un maillet suffisamment solide.

  Est-ce si difficile d’arriver à prendre en compte que chacun possède sa vérité et que dans l’ensemble aucune n’est vraie pour tout le monde ?

  Ou plutôt, n’est-ce pas ce monde qui se conduit de manière individualiste dans une bergerie de bas étage, élevé au rang de milliards de personnalités, qui cherche en vain une vérité commune pour enfin réussir à se mettre d’accord et avoir des bases pour mieux moutonner ?

  Un individualiste marqué recherchant à faire ressortir sa personnalité est un marginal, un individualiste refoulé qui ne pense qu’à écraser les autres n’est qu’une personne parmi tant d’autre.

  Dans le fond … ne sommes-nous pas tous devenu sourd et aveugle ?

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22 mars 2008

A new start ?

A new start ?

En soit, j'ai pas de raison particulière si ce n'est une envie ... ou peut-être l'envie d'écrire et de changer, de trouver une autre raison d'occuper du temps et me pousser vers une autre voie.

Qui lira, qui viendra, pour le moment ça reste moche et vide.

On verra ce que donnera l'évolution. Pas vrai ?

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